13 (nombre)Le nombre 13 (treize) est l'entier naturel qui suit 12 et précède 14. Le nombre 13 est : le petit nombre premier (jumeau avec 11, cousin avec 17, sexy avec 19 et 7) ; l'un des trois seuls nombres premiers de Wilson connus ; le cinquième exposant premier de Mersenne, donnant ; le troisième nombre premier chanceux ; un nombre premier super-singulier ; le nombre premier brésilien car 13 = 1113 ; le nombre étoilé à 6 branches et le nombre carré centré ; le septième nombre de Fibonacci ; la somme des trois premières puissances de 3 (3 + 3 + 3 = 13) ; la somme des deux premiers carrés de nombres premiers (2 + 3 = 13).
Test de primalité AKSLe test de primalité AKS (aussi connu comme le test de primalité Agrawal-Kayal-Saxena et le test cyclotomique AKS) est un algorithme de preuve de primalité déterministe et généraliste (fonctionne pour tous les nombres) publié le par trois scientifiques indiens nommés Manindra Agrawal, Neeraj Kayal et Nitin Saxena (A.K.S). Ce test est le premier en mesure de déterminer la primalité d'un nombre dans un temps polynomial. Ce test a été publié dans un article scientifique intitulé « PRIMES is in P ».
Principe local-globalPour le point de vue de la géométrie différentielle sur cette notion, voir l'article Passage du local au global. En mathématiques, et plus particulièrement en théorie algébrique des nombres et en géométrie algébrique, le principe local-global consiste à essayer de reconstituer une information sur un objet global à partir d'informations sur des objets locaux associés (ses localisations en tous les idéaux premiers), censées être plus faciles à obtenir. Ce théorème porte sur les formes quadratiques sur le corps global des nombres rationnels.
Formules pour les nombres premiersEn mathématiques, la recherche de formules exactes donnant tous les nombres premiers, certaines familles de nombres premiers ou le nombre premier s'est généralement avérée vaine, ce qui a amené à se contenter de formules approchées. Cette page recense les principaux résultats obtenus. L'espoir d'obtenir une formule exacte et simple donnant le n-ième nombre premier p, ou le nombre π(n) de nombres premiers inférieurs ou égaux à n, s'est très tôt heurté à l'extrême irrégularité de leur répartition, ce qui a amené à se contenter d'objectifs moins ambitieux.
11 (nombre)Le nombre 11 (onze) est l’entier naturel qui suit 10 et qui précède 12. Le nombre 11 est : le cinquième nombre premier et, en , le plus petit nombre premier à deux chiffres ; le cinquième nombre premier supersingulier (sur quinze en tout) ; le cinquième nombre premier de Chen (tout nombre premier supersingulier est un nombre premier de Chen) le troisième nombre premier sûr de la forme avec n premier : 2 × 5 + 1 ; le quatrième nombre premier de Sophie Germain (nombre premier n tel que 2n + 1 est premier) : en effet (2 × 11) + 1 = 23 est premier ; un nombre premier unique ; le quatrième nombre premier non brésilien bien qu'il soit répunit 11 = 1110, mais par convention l'écriture n = 11n–1 est proscrite, sinon, tout nombre serait alors brésilien.
Théorème de ProthEn théorie des nombres, le théorème de Proth est le test de primalité suivant, spécifique aux nombres de Proth, c'est-à-dire aux entiers naturels de la forme p = k2n + 1 avec 0 < k < 2n : ou, de façon équivalente mais un peu plus fidèle : Pour tout nombre premier p > 2, il existe des entiers a satisfaisant cette congruence : ce sont exactement les a tels que (a/p) = –1, soit la moitié des entiers non divisibles par p, d'après le critère d'Euler.
Théorie additive des nombresLa théorie additive des nombres est une branche de la théorie des nombres où sont étudiées des parties de l'ensemble des entiers, et leur comportement vis-à-vis de l'addition. Plus abstraitement, ce domaine inclut l'étude des groupes abéliens et des demi-groupes commutatifs, dont la loi interne est alors notée additivement. Il a des liens étroits avec la combinatoire arithmétique et la géométrie des nombres. Le principal objet d'étude est la somme d'ensembles : somme de deux parties A et B d'un groupe abélien et somme itérée d'une partie A avec elle-même.
Générateur congruentiel linéaireUn générateur congruentiel linéaire est un générateur de nombres pseudo-aléatoires dont l'algorithme, introduit en 1948 par Derrick Lehmer, sous une forme réduite, pour produire des nombres aléatoires, est basé sur des congruences et une fonction affine. Les nombres pseudo aléatoires forment une suite dont chaque terme dépend du précédent, selon la formule : où a est le multiplicateur, c l'incrément et m le module. Le terme initial est appelé la graine (seed en anglais). C'est elle qui va permettre de générer une suite apparemment aléatoire.
Mersenne TwisterLe Mersenne Twister est un générateur de nombres pseudo-aléatoires, réputé pour sa qualité, développé par Makoto Matsumoto et Takuji Nishimura en 1997. L’algorithme est fondé sur un TGSFR (twisted generalised shift feedback register, un type particulier de registre à décalage à rétroaction) et tient son nom d’un nombre premier de Mersenne.
Théorème de densité de TchebotariovEn théorie algébrique des nombres, le théorème de Tchebotariov, dû à Nikolai Tchebotariov et habituellement écrit théorème de Chebotarev, précise le théorème de la progression arithmétique de Dirichlet sur l'infinitude des nombres premiers en progression arithmétique : il affirme que, si a, q ≥ 1 sont deux entiers premiers entre eux, la densité naturelle de l'ensemble des nombres premiers congrus à a modulo q vaut 1/φ(q). Le cadre du théorème de Tchebotariov est le suivant : on considère une extension galoisienne de corps de nombres, de groupe de Galois .