In mathematics, a generalized permutation matrix (or monomial matrix) is a matrix with the same nonzero pattern as a permutation matrix, i.e. there is exactly one nonzero entry in each row and each column. Unlike a permutation matrix, where the nonzero entry must be 1, in a generalized permutation matrix the nonzero entry can be any nonzero value. An example of a generalized permutation matrix is
An invertible matrix A is a generalized permutation matrix if and only if it can be written as a product of an invertible diagonal matrix D and an (implicitly invertible) permutation matrix P: i.e.,
The set of n × n generalized permutation matrices with entries in a field F forms a subgroup of the general linear group GL(n, F), in which the group of nonsingular diagonal matrices Δ(n, F) forms a normal subgroup. Indeed, the generalized permutation matrices are the normalizer of the diagonal matrices, meaning that the generalized permutation matrices are the largest subgroup of GL(n, F) in which diagonal matrices are normal.
The abstract group of generalized permutation matrices is the wreath product of F× and Sn. Concretely, this means that it is the semidirect product of Δ(n, F) by the symmetric group Sn:
Sn ⋉ Δ(n, F),
where Sn acts by permuting coordinates and the diagonal matrices Δ(n, F) are isomorphic to the n-fold product (F×)n.
To be precise, the generalized permutation matrices are a (faithful) linear representation of this abstract wreath product: a realization of the abstract group as a subgroup of matrices.
The subgroup where all entries are 1 is exactly the permutation matrices, which is isomorphic to the symmetric group.
The subgroup where all entries are ±1 is the signed permutation matrices, which is the hyperoctahedral group.
The subgroup where the entries are mth roots of unity is isomorphic to a generalized symmetric group.
The subgroup of diagonal matrices is abelian, normal, and a maximal abelian subgroup.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Un groupe de Coxeter est un groupe engendré par des réflexions sur un espace. Les groupes de Coxeter se retrouvent dans de nombreux domaines des mathématiques et de la géométrie. En particulier, les groupes diédraux, ou les groupes d'isométries de polyèdres réguliers, sont des groupes de Coxeter. Les groupes de Weyl sont d'autres exemples de groupes de Coxeter. Ces groupes sont nommés d'après le mathématicien H.S.M. Coxeter. Un groupe de Coxeter est un groupe W ayant une présentation du type: où est à valeurs dans , est symétrique () et vérifie , si .
thumb|upright=1.5 En mathématiques, les matrices sont des tableaux d'éléments (nombres, caractères) qui servent à interpréter en termes calculatoires, et donc opérationnels, les résultats théoriques de l'algèbre linéaire et même de l'algèbre bilinéaire. Toutes les disciplines étudiant des phénomènes linéaires utilisent les matrices. Quant aux phénomènes non linéaires, on en donne souvent des approximations linéaires, comme en optique géométrique avec les approximations de Gauss.
En mathématiques, le groupe orthogonal réel de degré n, noté O(n), est le groupe des transformations géométriques d'un espace Euclidien de dimension n qui préservent les distances (isométries) et le point origine de l'espace. Formellement, on introduit le groupe orthogonal d'une forme quadratique q sur E, espace vectoriel sur un corps commutatif K, comme le sous-groupe du groupe linéaire GL(E) constitué des automorphismes f de E qui laissent q invariante : pour tout vecteur x de E.
In this thesis, we investigate the inverse problem of trees and barcodes from a combinatorial, geometric, probabilistic and statistical point of view.Computing the persistent homology of a merge tree yields a barcode B. Reconstructing a tree from B involve ...
EPFL2022
,
This paper proposes a representational model for image pairs such as consecutive video frames that are related by local pixel displacements, in the hope that the model may shed light on motion perception in primary visual cortex (V1). The model couples the ...
A language is said to be homogeneous when all its words have the same length. Homogeneous languages thus form a monoid under concatenation. It becomes freely commutative under the simultaneous actions of every permutation group G(n) on the collection of ho ...