Pyramide pentagonaleEn géométrie, la pyramide pentagonale est un des solides de Johnson (J2). Comme toute pyramide, c'est un polyèdre autodual. Il peut être vu comme le "couvercle" d'un icosaèdre; le reste de l'icosaèdre forme la pyramide pentagonale gyroallongée, J11. Les 92 solides de Johnson ont été nommés et décrits par Norman Johnson en 1966. Plus généralement, une pyramide pentagonale de sommet uniforme d'ordre 2 peut être définie avec une base pentagonale régulière et 5 côtés en forme de triangles isocèles de hauteur quelconque.
Icosaèdre de JessenL'icosaèdre de Jessen (parfois appelé icosaèdre orthogonal de Jessen) est un polyèdre non convexe ayant le même nombre de sommets, d'arêtes et de faces que l'icosaèdre régulier, et dont les faces se coupent à angle droit ; il a été étudié par en 1967. On peut choisir un repère dans lequel les 12 sommets de l'icosaèdre de Jessen ont pour coordonnées les 3 permutations circulaires de . Dans cette représentation, les 24 arêtes courtes (correspondant aux angles diédraux convexes) sont de longueur , et les 6 autres arêtes sont de longueur .
Golden rectangleIn geometry, a golden rectangle is a rectangle whose side lengths are in the golden ratio, , which is (the Greek letter phi), where is approximately 1.618. Golden rectangles exhibit a special form of self-similarity: All rectangles created by adding or removing a square from an end are golden rectangles as well. A golden rectangle can be constructed with only a straightedge and compass in four simple steps: Draw a square. Draw a line from the midpoint of one side of the square to an opposite corner.
Final stellation of the icosahedronIn geometry, the complete or final stellation of the icosahedron is the outermost stellation of the icosahedron, and is "complete" and "final" because it includes all of the cells in the icosahedron's stellation diagram. That is, every three intersecting face planes of the icosahedral core intersect either on a vertex of this polyhedron, or inside of it. This polyhedron is the seventeenth stellation of the icosahedron, and given as Wenninger model index 42.
PyramideEn géométrie, une pyramide (du grec ancien ) à n côtés est un polyèdre à n + 1 faces, formé en reliant une base polygonale de n côtés à son sommet ou sommet opposé à la base (également appelé apex), par n faces triangulaires (n ≥ 3). Lorsque cela n'est pas précisé, la base est supposée carrée. Pour une pyramide triangulaire chaque face peut servir de base, avec le sommet opposé pour apex. Le tétraèdre régulier, un des solides de Platon, est une pyramide triangulaire.
Sphère médianevignette| Un polyèdre et sa sphère médiane en bleu. Les cercles rouges sont les limites des calottes sphériques dans lesquelles la surface de la sphère est visible depuis chaque sommet. vignette|Cube et son octaèdre dual avec sphère médiane commune. En géométrie, la sphère médiane ou intersphère d'un polyèdre est une sphère qui est tangente à chaque arête du polyèdre, c'est-à-dire qu'elle touche chacune des arêtes en exactement un point.
Polyèdre isoédriquevignette| Un jeu de dés isoédriques En géométrie, un polytope de dimension 3 (un polyèdre) ou plus est dit isoédrique lorsque ses faces sont identiques. Plus précisément, toutes les faces ne doivent pas être simplement isométriques, mais doivent être transitives, c'est-à-dire qu'elles doivent se trouver dans la même orbite de symétrie. En d'autres termes, pour toutes les faces A et B, il doit y avoir une symétrie de l'ensemble du solide par rotations et réflexions qui envoie A sur B.
Tenségrité (architecture)vignette|Needle Tower II (Tour d'aiguilles II) par au musée Kröller-Müller à Otterlo (Pays-Bas). La tenségrité, soit l'intégrité en tension ou la compression flottante, est en architecture, un principe structurel basé sur un système de composants isolés sous compression à l'intérieur d'un réseau en tension continue, et disposés de telle sorte que les éléments comprimés (généralement des barres ou des entretoises) ne se touchent pas tandis que les éléments tendus précontraints (généralement des câbles ou des tendons) délimitent le système dans l'espace.
Vertex arrangementIn geometry, a vertex arrangement is a set of points in space described by their relative positions. They can be described by their use in polytopes. For example, a square vertex arrangement is understood to mean four points in a plane, equal distance and angles from a center point. Two polytopes share the same vertex arrangement if they share the same 0-skeleton. A group of polytopes that shares a vertex arrangement is called an army. The same set of vertices can be connected by edges in different ways.
Angular defectIn geometry, the (angular) defect (or deficit or deficiency) means the failure of some angles to add up to the expected amount of 360° or 180°, when such angles in the Euclidean plane would. The opposite notion is the excess. Classically the defect arises in two ways: the defect of a vertex of a polyhedron; the defect of a hyperbolic triangle; and the excess also arises in two ways: the excess of a toroidal polyhedron.