La fonction NON (NOT en anglais) est un opérateur logique de l'algèbre de Boole et exprime un « état » en fonction de conditions. À un opérande, qui peut avoir la valeur VRAI ou FAUX, il associe un résultat qui a lui-même la valeur inverse de celle de l'opérande. Le circuit intégré 7404 intègre six portes logiques inverseuses du type NON. On la note Il correspond, en arithmétique, à : Une lampe s'allume lorsque l'on n'appuie pas sur « a ». La fonction « NON » est caractérisée par un interrupteur NF (normalement fermé).
Le concept intervient dans l'exposition des bases de la théorie de la mesure, sous des noms assez variés dans les sources en français : outre algèbre d'ensembles, et sa variante corps d'ensembles, on trouve aussi algèbre de Boole de parties, ou plus brièvement algèbre de Boole, voire simplement algèbre, et encore anneau booléen unitaire ou clan unitaire. Cette définition évoque celle d'une tribu ; en les rapprochant on constate immédiatement qu'un ensemble de parties d'un ensemble est une tribu si et seulement si c'est une algèbre d'ensembles stable par réunion dénombrable.
La fonction OU exclusif, souvent appelée XOR (eXclusive OR) ou disjonction exclusive, ou somme binaire en cryptographie où il est noté +, ou encore ⊻ en algèbre relationnelle, est un opérateur logique de l'algèbre de Boole. À deux opérandes, qui peuvent avoir chacun la valeur VRAI ou FAUX, il associe un résultat qui a lui-même la valeur VRAI seulement si les deux opérandes ont des valeurs distinctes. Cet opérateur est très utilisé en électronique, en informatique, et aussi en cryptographie du fait de ses propriétés intéressantes.
En électronique, la synthèse logique (RTL synthesis) est la traduction d'une forme abstraite de description du comportement d'un circuit (voir Register Transfer Level) en sa réalisation concrète sous forme de portes logiques. Le point de départ peut être un langage de description de matériel comme VHDL ou Verilog, un schéma logique du circuit. D'autres sources sont venues s'additionner depuis les années 2010, comme l'utilisation de la programmation en OpenCL. Le point d'arrivée peut être un code objet pour un CPLD ou FPGA ou la création d'un ASIC.
Une table de Karnaugh (prononcé ) est une méthode graphique et simple pour trouver ou simplifier une fonction logique à partir de sa table de vérité. Elle utilise le code de Gray (aussi appelé binaire réfléchi), qui a comme propriété principale de ne faire varier qu'un seul bit entre deux mots successifs (la distance de Hamming de deux mots successifs du code de Gray est égale à 1). Cette méthode a été développée par Maurice Karnaugh en 1953, en perfectionnant un diagramme similaire introduit en 1952 par .
Relay logic is a method of implementing combinational logic in electrical control circuits by using several electrical relays wired in a particular configuration. ladder logic The schematic diagrams for relay logic circuits are often called line diagrams, because the inputs and outputs are essentially drawn in a series of lines. A relay logic circuit is an electrical network consisting of lines, or rungs, in which each line or rung must have continuity to enable the output device.
(also denoted , Z/2Z or ) is the finite field of two elements (GF is the initialism of Galois field, another name for finite fields). Notations Z_2 and may be encountered although they can be confused with the notation of 2-adic integers. GF(2) is the field with the smallest possible number of elements, and is unique if the additive identity and the multiplicative identity are denoted respectively 0 and 1, as usual. The elements of GF(2) may be identified with the two possible values of a bit and to the boolean values true and false.
Un tableau de bits (en anglais bitmap) est une structure de données, en particulier un tableau de données binaires. Il s'agit d'une collection ordonnée de bits assimilables à des booléens. Certes, l'appellation tableau évoque une grille semblable à celle des mots croisés, mais un tableau de bits peut très bien être en trois dimensions ou plus. Pour autant, le nombre d'éléments étant fini, connu, voire défini, la collection peut être inventoriée selon un chemin parcourant chaque « colonne » et chaque « ligne ».
Zhegalkin (also Žegalkin, Gégalkine or Shegalkin) polynomials (полиномы Жегалкина), also known as algebraic normal form, are a representation of functions in Boolean algebra. Introduced by the Russian mathematician Ivan Ivanovich Zhegalkin in 1927, they are the polynomial ring over the integers modulo 2. The resulting degeneracies of modular arithmetic result in Zhegalkin polynomials being simpler than ordinary polynomials, requiring neither coefficients nor exponents. Coefficients are redundant because 1 is the only nonzero coefficient.
In mathematical logic, predicate functor logic (PFL) is one of several ways to express first-order logic (also known as predicate logic) by purely algebraic means, i.e., without quantified variables. PFL employs a small number of algebraic devices called predicate functors (or predicate modifiers) that operate on terms to yield terms. PFL is mostly the invention of the logician and philosopher Willard Quine. The source for this section, as well as for much of this entry, is Quine (1976).