La plupart des structures algébriques permettent de construire de façon très simple une structure produit sur le produit cartésien des ensembles sous-jacents. Plus généralement, . C'est le cas de la topologie produit dans la catégorie des espaces topologiques.
Soient E un ensemble muni d'une loi de composition interne et F un ensemble muni d'une loi de composition interne . On peut définir une loi de composition interne sur le produit cartésien E×F de la façon suivante :
Si et sont associatives, alors la loi est associative.
Si et sont commutatives, alors la loi est commutative.
Si admet un élément neutre e et si admet un élément neutre f, alors est neutre pour .
Si de plus x admet un symétrique x' pour et si y admet un symétrique y' pour , alors (x, y) admet (x, y) comme symétrique.
Soit (E) une famille d'ensembles, chaque E étant muni d'une loi de composition interne . On peut définir une loi de composition interne sur le produit cartésien ∏ E de la façon suivante :
Cette construction est valable que I soit un ensemble fini ou infini.
Si chaque loi est associative, la loi est associative.
Si chaque loi est commutative, la loi est commutative.
Si chaque loi possède un élément neutre e (respectivement neutre à droite, respectivement neutre à gauche), la famille (e) est neutre (respectivement neutre à droite, respectivement neutre à gauche) pour .
Si chaque loi possède un élément neutre et si dans chaque E, un élément quelconque x possède un symétrique (respectivement symétrique à droite, respectivement symétrique à gauche) y, alors la famille (x) admet la famille (y) comme symétrique (respectivement symétrique à droite, respectivement symétrique à gauche).
En particulier, le produit direct d'une famille de groupes est un groupe.
produit direct (groupes)
Soit (E) une famille d'ensembles, chaque E étant muni de deux lois et . On peut comme précédemment définir une loi , produit direct des
et une loi , produit direct des lois .
Si chaque loi est distributive par rapport à la loi , alors la loi est distributive par rapport à la loi .
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vignette|Richard Dedekind - 1870 En algèbre, un anneau est un ensemble muni de deux lois de composition interne appelées addition et multiplication, qui vérifient des propriétés analogues à celles de ces opérations sur les entiers relatifs. Plus précisément, deux définitions sont représentées dans la littérature mathématique, selon la considération d'un élément neutre : la majorité des sources récentes définissent un « anneau » comme un anneau unitaire, avec la multiplication ayant un élément neutre ; tandis que, selon de nombreux ouvrages, la présence d'une unité multiplicative n'est pas requise, et ce type d'anneau est ailleurs dénommé pseudo-anneau.
En mathématiques, et plus précisément en algèbre générale, au sein des structures algébriques, : pour un espace vectoriel, l'ensemble des scalaires forme un corps tandis que pour un module, cet ensemble est seulement muni d'une structure d'anneau (unitaire, mais non nécessairement commutatif). Une partie des travaux en théorie des modules consiste à retrouver les résultats de la théorie des espaces vectoriels, quitte pour cela à travailler avec des anneaux plus maniables, comme les anneaux principaux.
En mathématiques, un isomorphisme entre deux ensembles structurés est une application bijective qui préserve la structure, et dont la réciproque préserve aussi la structure. Plus généralement, en théorie des catégories, un isomorphisme entre deux objets est un morphisme admettant un « morphisme inverse ». Par exemple, sur l'intervalle des valeurs ... peuvent être remplacées par leur logarithme ..., et les relations d'ordre entre elles seront conservées. On peut à tout moment retrouver les valeurs et en prenant les exponentielles de et .
Explore le théorème de Wedderburn, les algèbres de groupe et le théorème de Maschke dans le contexte des algèbres simples de dimension finie et de leurs endomorphismes.
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In this paper, we consider the first eigenvalue.1(O) of the Grushin operator.G :=.x1 + |x1|2s.x2 with Dirichlet boundary conditions on a bounded domain O of Rd = R d1+ d2. We prove that.1(O) admits a unique minimizer in the class of domains with prescribed ...
WALTER DE GRUYTER GMBH2023
The direct construction of stereogenic axes by enantioselective C-H arylation has been regarded as a very challenging transformation. Very few examples have been reported, despite the indisputable straight-forwardness of the methodology. This is due to the ...
We give a direct construction of a specific central idempotent in the endomorphism algebra of a finite lattice T. This idempotent is associated with all possible sublattices of T which are totally ordered. A generalization is considered in a conjectural fa ...