Logarithme d'une matriceEn mathématiques, et plus particulièrement en analyse, un logarithme d'une matrice est une autre matrice telle que son exponentielle soit égale à la matrice initiale. C'est une généralisation de la notion usuelle de logarithme, considéré comme inverse de la fonction exponentielle, mais le logarithme n'existe pas pour toutes les matrices, et n'est pas unique en général. L'étude du logarithme des matrices conduit au développement de la , car les matrices ayant un logarithme appartiennent à un groupe de Lie, et le logarithme est alors l'élément correspondant de l'algèbre de Lie associée.
Sinus hyperbolique réciproqueLe sinus hyperbolique réciproque est, en mathématiques, une fonction hyperbolique. La fonction sinus hyperbolique réciproque, ou argument sinus hyperbolique, notée arsinh (ou argsh), est définie à l'aide du sinus hyperbolique par : Cette fonction est bijective et son est . Elle est continue, impaire, strictement croissante, convexe sur et concave sur . Sa en 0 est 0 et sa limite en +∞ est +∞. Elle est dérivable sur et sa dérivée est donnée par : Par conséquent : la fonction arsinh s'exprime à l'aide du log
Rapidité (relativité)En relativité restreinte, la rapidité ou pseudo-vitesse est une mesure du mouvement. À faible vitesse, la rapidité et la vitesse sont égales (au coefficient multiplicateur c près), mais contrairement à la vitesse qui tend asymptotiquement vers la vitesse de la lumière, la rapidité continue à augmenter linéairement à l'infini. L'intérêt de la rapidité vient du fait que, de par son caractère linéaire, elle préserve la relation de la mécanique classique entre vitesse et accélération (un voyageur peut donc calculer sa rapidité en intégrant dans le temps, une mesure fournie par un accéléromètre).
Nombre bicomplexeEn mathématiques, les nombres bicomplexes sont les nombres multicomplexes de symbole . C’est un nombre écrit sous la forme a + b i + c i + d j, où i, i et j sont des unités imaginaires qui commutent et où j = i i vérifie j = i i = 1. Basé sur les règles de la multiplication des unités imaginaires, si A = a + b i et B = c + d i, alors le nombre bicomplexe peut être écrit A + B i : les nombres bicomplexes sont similaires aux nombres complexes, mais les parties réelles de leur forme cartésienne sont complexes plutôt que réelles.
SédénionEn mathématiques, les sédénions forment une algèbre réelle de dimension 16, notée . Leur nom provient du latin sedecim qui veut dire seize. Deux sortes sont actuellement connues : les sédénions obtenus par application de la construction de Cayley-Dickson ; les sédénions coniques (ou algèbre M). À l'instar des octonions, la multiplication des sedénions n'est ni commutative ni associative. De plus, par rapport aux octonions, les sédénions perdent la propriété d'être alternatifs.
Lie theoryIn mathematics, the mathematician Sophus Lie (liː ) initiated lines of study involving integration of differential equations, transformation groups, and contact of spheres that have come to be called Lie theory. For instance, the latter subject is Lie sphere geometry. This article addresses his approach to transformation groups, which is one of the areas of mathematics, and was worked out by Wilhelm Killing and Élie Cartan. The foundation of Lie theory is the exponential map relating Lie algebras to Lie groups which is called the Lie group–Lie algebra correspondence.
Hypercomplex analysisIn mathematics, hypercomplex analysis is the extension of complex analysis to the hypercomplex numbers. The first instance is functions of a quaternion variable, where the argument is a quaternion (in this case, the sub-field of hypercomplex analysis is called quaternionic analysis). A second instance involves functions of a motor variable where arguments are split-complex numbers. In mathematical physics, there are hypercomplex systems called Clifford algebras. The study of functions with arguments from a Clifford algebra is called Clifford analysis.
Octonion déployéEn mathématiques, les octonions déployés ou octonions fendus sont une extension non associative des quaternions (ou des coquaternions). Ils diffèrent des octonions par la signature de la forme quadratique : les octonions déployés ont une signature mixte (4,4) alors que les octonions ont une signature définie positive (8,0). Les octonions et les octonions déployés peuvent être obtenus par la construction de Cayley–Dickson en définissant une multiplication sur les paires de quaternions.
Hyperbole unitéEn géométrie, l'hyperbole unité est l'ensemble des points (x, y) du plan cartésien qui vérifient l'équation implicite x – y = 1. Dans l'étude des groupes orthogonaux indéfinis, l'hyperbole unité forme la base d'une longueur radiale alternative Alors que le cercle unité entoure son centre, l'hyperbole unité nécessite lhyperbole conjuguée y – x = 1 pour le compléter dans le plan. Cette paire d'hyperboles partage les asymptotes et .
Somme directeEn mathématiques, et plus précisément en algèbre, le terme de somme directe désigne des ensembles munis de certaines structures, souvent construits à partir du produit cartésien d'autres ensembles du même type, et vérifiant la propriété universelle de la somme (ou « coproduit ») au sens des catégories. Produit direct (groupes)#Somme directe interne d'une famille de sous-groupes abéliensSomme directe interne de sous-groupes abéliens Soient F et F deux sous-espaces vectoriels d'un espace vectoriel E.