AsymptoteLe terme d'asymptote (prononciation : ) est utilisé en mathématiques pour préciser des propriétés éventuelles d'une branche infinie de courbe à accroissement tendant vers l'infinitésimal. C'est d'abord un adjectif d'étymologie grecque qui peut qualifier une droite, un cercle, un point... dont une courbe plus complexe peut se rapprocher. C'est aussi devenu un nom féminin synonyme de droite asymptote. Une droite asymptote à une courbe est une droite telle que, lorsque l'abscisse ou l'ordonnée tend vers l'infini, la distance de la courbe à la droite tend vers 0.
TétrationLa tétration (ou encore nappe exponentielle, hyperpuissance, tour de puissances, super-exponentiation ou hyper4) est une « exponentiation itérée ». C'est le premier hyperopérateur après l'exponentiation. Le mot-valise tétration a été forgé par Reuben Goodstein sur la base du préfixe tétra- (quatre) et itération. La tétration est utilisée pour l'écriture des grands nombres. Elle suit l'addition, la multiplication et l'exponentiation comme indiqué ci-après : addition multiplication exponentiation tétration avec chaque fois b apparitions de la lettre a.
Théorème de MoreraIn complex analysis, a branch of mathematics, Morera's theorem, named after Giacinto Morera, gives an important criterion for proving that a function is holomorphic. Morera's theorem states that a continuous, complex-valued function f defined on an open set D in the complex plane that satisfies for every closed piecewise C1 curve in D must be holomorphic on D. The assumption of Morera's theorem is equivalent to f locally having an antiderivative on D. The converse of the theorem is not true in general.
Resolution of singularitiesIn algebraic geometry, the problem of resolution of singularities asks whether every algebraic variety V has a resolution, a non-singular variety W with a proper birational map W→V. For varieties over fields of characteristic 0 this was proved in Hironaka (1964), while for varieties over fields of characteristic p it is an open problem in dimensions at least 4. Originally the problem of resolution of singularities was to find a nonsingular model for the function field of a variety X, in other words a complete non-singular variety X′ with the same function field.
Closure operatorIn mathematics, a closure operator on a set S is a function from the power set of S to itself that satisfies the following conditions for all sets {| border="0" |- | | (cl is extensive), |- | | (cl is increasing), |- | | (cl is idempotent). |} Closure operators are determined by their closed sets, i.e., by the sets of the form cl(X), since the closure cl(X) of a set X is the smallest closed set containing X. Such families of "closed sets" are sometimes called closure systems or "Moore families".
Clôture (mathématiques)On parle de clôture ou de fermeture en mathématiques dans des contextes très divers. Quelques exemples sont listés ci-dessous. En mathématiques, on dit qu'une partie A d'un ensemble E est stable (ou close) pour une opération définie sur E si cette opération, appliquée à des éléments de A, produit toujours un élément de A. Par exemple, l'ensemble des nombres réels est stable par soustraction, tandis que l'ensemble des entiers naturels ne l'est pas (la différence de deux entiers naturels est parfois un entier relatif strictement négatif).
Adhérence (mathématiques)En topologie, l'adhérence d'une partie d'un espace topologique est le plus petit ensemble fermé contenant cette partie. Lorsque l'espace est métrisable, c'est aussi l'ensemble des limites de suites convergentes à valeurs dans cette partie. Dans un espace topologique E, l'adhérence d'une partie X, notée , est le « plus petit » (au sens de l'inclusion) fermé contenant X. L'existence d'un tel fermé est claire : il existe au moins un fermé contenant X, à savoir l'espace E lui-même ; d'autre part, l'intersection de tous les fermés contenant X est un fermé contenant X, et est le plus petit ayant cette propriété.
Differentiation rulesThis is a summary of differentiation rules, that is, rules for computing the derivative of a function in calculus. Unless otherwise stated, all functions are functions of real numbers (R) that return real values; although more generally, the formulae below apply wherever they are well defined — including the case of complex numbers (C). For any value of , where , if is the constant function given by , then . Let and . By the definition of the derivative, This shows that the derivative of any constant function is 0.
Final value theoremIn mathematical analysis, the final value theorem (FVT) is one of several similar theorems used to relate frequency domain expressions to the time domain behavior as time approaches infinity. Mathematically, if in continuous time has (unilateral) Laplace transform , then a final value theorem establishes conditions under which Likewise, if in discrete time has (unilateral) Z-transform , then a final value theorem establishes conditions under which An Abelian final value theorem makes assumptions about the time-domain behavior of (or ) to calculate .
Tribu (mathématiques)En mathématiques, une tribu ou σ-algèbre (lire sigma-algèbre) ou plus rarement corps de Borel sur un ensemble X est un ensemble non vide de parties de X, stable par passage au complémentaire et par union dénombrable (donc aussi par intersection dénombrable). Les tribus permettent de définir rigoureusement la notion d'ensemble mesurable. Progressivement formalisées pendant le premier tiers du , les tribus constituent le cadre dans lequel s'est développée la théorie de la mesure.