Formule de Viètevignette|upright=2.5|Formule de Viète énoncée dans son Variorum de rebus mathematicis responsorum, liber VIII (1593). En mathématiques, la formule de Viète est le produit infini suivant des radicaux imbriqués représentant le nombre π : Elle est nommée d'après François Viète, qui l'a publiée en 1593 dans son Variorum de rebus mathematicis responsorum, liber VIII. À l'époque où Viète publiait sa formule, des méthodes d'approximation de π étaient connues depuis longtemps.
Radical imbriquéEn mathématiques, en particulier en algèbre, les radicaux imbriqués (ou radicaux emboités) sont des expressions contenant des racines d'expressions contenant elles-mêmes des racines. Par exemple qui apparaît dans l'étude du pentagone régulier, ou d'autres plus complexes telles que . On peut désimbriquer certains radicaux imbriqués. Par exemple : Mais la désimbrication de radicaux est généralement considérée comme un problème difficile.
Madhava seriesIn mathematics, a Madhava series is one of the three Taylor series expansions for the sine, cosine, and arctangent functions discovered in 14th or 15th century Kerala by the mathematician and astronomer Madhava of Sangamagrama (c. 1350 – c. 1425) or his followers in the Kerala school of astronomy and mathematics. Using modern notation, these series are: All three series were later independently discovered in 17th century Europe.
Formule de Machinalt=Extrait du Synopsis Palmariorum Matheseos (1706) de William Jones, présentant la série de John Machin.|vignette|upright=2|Extrait du Synopsis Palmariorum Matheseos (1706) de William Jones, présentant la série de John Machin. La formule de Machin fut découverte en 1706 par John Machin et relie le nombre π à la fonction trigonométrique arctangente : Cette formule permet de calculer une approximation du nombre π grâce au développement en série entière de la fonction arctangente.
William OughtredWilliam Oughtred est un mathématicien et théologien né à Eton (Buckinghamshire) le , et mort à Albury, près de Gulford (comté de Surrey), le . Élève du King's College, Cambridge, Il a étudié la théologie et cles sciences exactes. Il quitte l'université vers 1603 et fut nommé en 1610 ministre d’Albury. Il a enseigné les mathématiques. On compte parmi ses élèves Richard Delamain, Robert Wood et Jonas Moore. Par ailleurs, il fut en correspondance avec John Wallis et Christopher Wren.
Triangle de Reuleauxthumb|Triangle de Reuleaux Un triangle de Reuleaux est une courbe de largeur constante, c'est-à-dire une courbe dont tous les diamètres ont la même longueur. Dans ce cas un diamètre correspond au segment formé par un sommet et n'importe quel point du côté opposé (qui est un arc de cercle dans ce cas). Cette courbe tient son nom de l'ingénieur allemand Franz Reuleaux, qui fut au un pionnier du génie mécanique. La forme du triangle de Reuleaux a été utilisée au treizième siècle pour certaines rosaces gothiques.
Isaac BarrowIsaac Barrow (octobre 1630, Londres - ) est un philologue, mathématicien et théologien anglais. Il est connu pour ses travaux précurseurs en calcul infinitésimal, et en particulier pour son travail sur les tangentes. Isaac Newton est l'un de ses élèves. Barrow naît à Londres. Il va d'abord à l'école à Charterhouse School (où il est si dissipé qu'on entendit son père prier que, plût-il à Dieu de prendre n'importe lequel de ses enfants, il délaisserait plus facilement Isaac), puis à la .
List of mathematical jargonThe language of mathematics has a vast vocabulary of specialist and technical terms. It also has a certain amount of jargon: commonly used phrases which are part of the culture of mathematics, rather than of the subject. Jargon often appears in lectures, and sometimes in print, as informal shorthand for rigorous arguments or precise ideas. Much of this is common English, but with a specific non-obvious meaning when used in a mathematical sense. Some phrases, like "in general", appear below in more than one section.
Constante de GaussEn mathématiques, la constante de Gauss, notée G, est l'inverse de la moyenne arithmético-géométrique de 1 et de la racine carrée de 2 : L'éponyme de cette constante est le mathématicien allemand Carl Friedrich Gauss (-) car il a découvert le à Brunswick que : La constante de Gauss peut être exprimée grâce à la valeur de la fonction bêta en (1/4, 1/2) : soit encore, grâce à la valeur de la fonction gamma en 1/4 : et puisque π et Γ(1/4) sont algébriquement indépendants, la constante de Gauss est transcendant
Mathématiques dans l'Égypte antiqueLes mathématiques en Égypte antique étaient fondées sur un système décimal. Chaque puissance de dix était représentée par un hiéroglyphe particulier. Le zéro était inconnu. Toutes les opérations étaient ramenées à des additions. Pour exprimer des valeurs inférieures à leur étalon, les Égyptiens utilisaient un système simple de fractions unitaires. Pour déterminer la longueur d'un champ, sa surface ou encore mesurer un butin, les Égyptiens utilisaient trois systèmes de mesure différents, mais tous obéissaient aux règles décrites ci-dessus.