IdéalEn mathématiques, et plus particulièrement en algèbre, un idéal est un sous-ensemble remarquable d'un anneau : c'est un sous-groupe du groupe additif de l'anneau qui est, de plus, stable par multiplication par les éléments de l'anneau. À certains égards, les idéaux s'apparentent donc aux sous-espaces vectoriels — qui sont des sous-groupes additifs stables par une multiplication externe ; à d'autres égards, ils se comportent comme les sous-groupes distingués — ce sont des sous-groupes additifs à partir desquels on peut construire une structure d'anneau quotient.
Cubic fieldIn mathematics, specifically the area of algebraic number theory, a cubic field is an algebraic number field of degree three. If K is a field extension of the rational numbers Q of degree [K:Q] = 3, then K is called a cubic field. Any such field is isomorphic to a field of the form where f is an irreducible cubic polynomial with coefficients in Q. If f has three real roots, then K is called a totally real cubic field and it is an example of a totally real field. If, on the other hand, f has a non-real root, then K is called a complex cubic field.
Géométrie finieUne géométrie finie est un système géométrique dont les points sont en nombre fini. La géométrie euclidienne usuelle n'est pas finie, une droite euclidienne possédant une infinité de points. Une géométrie basée sur les images affichées sur un écran d'ordinateur, où les pixels sont considérés comme des points, serait une géométrie finie. Bien qu'il existe de nombreux systèmes que l'on pourrait appeler des géométries finies, on porte principalement l'attention sur les espaces projectifs et affines finis en raison de leur régularité et de leur simplicité.
Algèbre de quaternionsEn mathématiques, une algèbre de quaternions sur un corps commutatif K est une K-algèbre de dimension 4 qui généralise à la fois le corps des quaternions de Hamilton et l'algèbre des matrices carrées d'ordre 2. Pour être plus précis, ce sont les algèbres centrales simples sur K de degré 2. Dans cet article, on note K un corps commutatif (de caractéristique quelconque). On appelle algèbre de quaternions sur K toute algèbre (unitaire et associative) A de dimension 4 sur K qui est simple (c'est-à-dire que A et {0} sont les seuls idéaux bilatères) et dont le centre est K.
Polynôme non commutatifIn mathematics, especially in the area of abstract algebra known as ring theory, a free algebra is the noncommutative analogue of a polynomial ring since its elements may be described as "polynomials" with non-commuting variables. Likewise, the polynomial ring may be regarded as a free commutative algebra. For R a commutative ring, the free (associative, unital) algebra on n indeterminates {X1,...,Xn} is the free R-module with a basis consisting of all words over the alphabet {X1,...
DiscriminantEn mathématiques, le discriminant noté , ou le réalisant noté , est une notion algébrique. Il est utilisé pour résoudre des équations du second degré. Il se généralise pour des polynômes de degré > 0 quelconque et dont les coefficients sont choisis dans des ensembles munis d'une addition et d'une multiplication. Le discriminant apporte dans ce cadre une information sur l'existence ou l'absence de racine multiple. Le discriminant est utilisé dans d'autres domaines que celui de l'étude des polynômes.
Extension algébriqueEn mathématiques et plus particulièrement en algèbre, une extension algébrique L sur un corps K est une extension de corps dans laquelle tous les éléments sont algébriques sur K c’est-à-dire sont racines d'un polynôme non nul à coefficients dans K. Dans le cas contraire, l'extension est dite transcendante. Cette approche permet dans un premier temps de pallier les insuffisances de certains corps, par exemple celui des nombres réels quant aux solutions des équations polynomiales.
Corps quasi-algébriquement closEn mathématiques, un corps K est dit quasi-algébriquement clos si tout polynôme homogène P sur K non constant possède un zéro non trivial dès que le nombre de ses variables est strictement supérieur à son degré, autrement dit : si pour tout polynôme P à coefficients dans K, homogène, non constant, en les variables X1, ..., XN et de degré d < N, il existe un zéro non trivial de P sur K, c'est-à-dire des éléments x1, ..., xN de K non tous nuls tels que P(x1, ..., xN) = 0.
Noyau (algèbre)En mathématiques et plus particulièrement en algèbre générale, le noyau d'un morphisme mesure la non-injectivité d'un morphisme. Dans de nombreux cas, le noyau d'un morphisme est un sous-ensemble de l'ensemble de définition du morphisme : l'ensemble des éléments qui sont envoyés sur l'élément neutre de l'ensemble d'arrivée. Dans des contextes plus généraux, le noyau est interprété comme une relation d'équivalence sur l'ensemble de définition : la relation qui relie les éléments qui sont envoyés sur une même par le morphisme.
Niemeier latticeIn mathematics, a Niemeier lattice is one of the 24 positive definite even unimodular lattices of rank 24, which were classified by . gave a simplified proof of the classification. In the 1970s, has a sentence mentioning that he found more than 10 such lattices in the 1940s, but gives no further details. One example of a Niemeier lattice is the Leech lattice found in 1967. Niemeier lattices are usually labelled by the Dynkin diagram of their root systems.