Nombre pentagonalEn mathématiques, un nombre pentagonal est un nombre figuré qui peut être représenté par un pentagone. Pour tout entier n ≥ 1, d'après les formules générales pour les nombres polygonaux, le n-ième nombre pentagonal est donc la somme des n premiers termes de la suite arithmétique de premier terme 1 et de raison 3 : soit le tiers du (3n – 1)-ième nombre triangulaire et les dix premiers sont 1, 5, 12, 22, 35, 51, 70, 92, 117 et 145 ().
Congruences de RamanujanEn mathématiques, les congruences de Ramanujan sont des congruences remarquables à propos de la fonction de partition p(n). Le mathématicien Srinivasa Ramanujan a découvert les congruences: Cela signifie que Si un nombre est congru à 4 modulo 5, c'est-à-dire qu'il est compris dans la suite 4, 9, 14, 19, 24, 29, . . . alors le nombre de ses partitions est un multiple de 5. Si un nombre est congru à 5 modulo 7, c'est-à-dire qu'il est compris dans la suite 5, 12, 19, 26, 33, 40, . . .
Représentations du groupe symétriqueEn mathématiques les représentations du groupe symétrique sont un exemple d'application de la théorie des représentations d'un groupe fini. L'analyse de ces représentations est une illustration des concepts comme le théorème de Maschke, les caractères, la représentation régulière, les représentations induites et la réciprocité de Frobenius. L'histoire des représentations du groupe symétrique et du groupe alterné associés, joue un rôle particulier pour la théorie des caractères.
Groupe symétriqueEn mathématiques, plus particulièrement en algèbre, le groupe symétrique d'un ensemble E est le groupe des permutations de E, c'est-à-dire des bijections de E sur lui-même. N'est traité dans le présent article, à la suite de la définition générale, que le cas E fini. Soit E un ensemble. On appelle groupe symétrique de E l'ensemble des applications bijectives de E sur E muni de la composition d'applications (la loi ∘). On le note S(E) ou (ce caractère est un S gothique). Un cas particulier courant est le cas où E est l'ensemble fini {1, 2, .
Polynôme symétriqueEn mathématiques, un polynôme symétrique est un polynôme en plusieurs indéterminées, invariant par permutation de ses indéterminées. Ils jouent notamment un rôle dans les relations entre coefficients et racines. Soit A un anneau commutatif unitaire. Un polynôme Q(T, ..., T) en n indéterminées à coefficients dans A est dit symétrique si pour toute permutation s de l'ensemble d'indices {1, ..., n}, l'égalité suivante est vérifiée : Exemples Pour n = 1, tout polynôme est symétrique.
Treillis de Youngthumb|upright=1.5|Le diagramme de Hasse du treillis de Young. En mathématiques, et notamment en combinatoire, le treillis de Young est l'ensemble partiellement ordonné composé de toutes les partitions d'entiers. Cet ensemble est un treillis. Il est nommé ainsi d'après Alfred Young qui, dans une série d'articles intitulés On quantitative substitutional analysis a développé la théorie des représentations du groupe symétrique. Dans la théorie de Young, les objets appelés maintenant diagrammes de Young ou diagrammes de Ferrers et l'ordre partiels définis sur eux jouent un rôle central.
Théorème des nombres pentagonauxEn mathématiques, le théorème des nombres pentagonaux, dû au mathématicien suisse Euler, est le théorème qui établit le développement en série formelle de la fonction d'Euler : Autrement dit : Le nom du théorème vient de la forme des exposants dans le membre droit de l'égalité : ces nombres sont les nombres pentagonaux généralisés. Le théorème des nombres pentagonaux est un cas particulier de l'identité du triple produit de Jacobi. Ce théorème a une interprétation combinatoire en termes de partitions.
Rank of a partitionIn mathematics, particularly in the fields of number theory and combinatorics, the rank of a partition of a positive integer is a certain integer associated with the partition. In fact at least two different definitions of rank appear in the literature. The first definition, with which most of this article is concerned, is that the rank of a partition is the number obtained by subtracting the number of parts in the partition from the largest part in the partition.
Composition (combinatoire)En mathématiques, et notamment en combinatoire, une composition d'un entier positif n est une représentation de n comme somme d'une suite d'entiers strictement positifs. Ainsi, (1,2,1) est une composition de 4=1+2+1. Deux suites qui diffèrent par l'ordre de leurs parts sont considérées comme des compositions différentes. Ainsi, (2,1,1) est une autre composition de l'entier 4. Les compositions diffèrent donc des partitions d'entiers qui considèrent des suites sans tenir compte de l'ordre de leurs termes.
Mathématiques discrètesLes mathématiques discrètes, parfois appelées mathématiques finies, sont l'étude des structures mathématiques fondamentalement discrètes, par opposition aux structures continues. Contrairement aux nombres réels, qui ont la propriété de varier "en douceur", les objets étudiés en mathématiques discrètes (tels que les entiers relatifs, les graphes simples et les énoncés en logique) ne varient pas de cette façon, mais ont des valeurs distinctes séparées.