Variété (géométrie)En mathématiques, et plus particulièrement en géométrie, la notion de variété peut être appréhendée intuitivement comme la généralisation de la classification qui établit qu'une courbe est une variété de dimension 1 et une surface est une variété de dimension 2. Une variété de dimension n, où n désigne un entier naturel, est un espace topologique localement euclidien, c'est-à-dire dans lequel tout point appartient à une région qui s'apparente à un tel espace.
Spirale d'Archimèdethumb|Spirale d'Archimède d'équation r = t/π. thumb|Spirale d'Archimède représentée sur un graphe polaire. La spirale d'Archimède est la courbe d'équation polaire suivante : La spirale d'Archimède est la courbe décrite par un point en déplacement uniforme sur une droite en rotation elle-même uniforme autour d'un point. Le sillon des disques vinyle est une spirale d'Archimède. La spirale dessinée ci-contre est une spirale définie pour des angles positifs.
Courbe développanteIn mathematics, an involute (also known as an evolvent) is a particular type of curve that is dependent on another shape or curve. An involute of a curve is the locus of a point on a piece of taut string as the string is either unwrapped from or wrapped around the curve. The evolute of an involute is the original curve. It is generalized by the roulette family of curves. That is, the involutes of a curve are the roulettes of the curve generated by a straight line.
Tour (angle)One turn (symbol tr or pla) is a unit of plane angle measurement equal to 2π radians, 360 degrees or 400 gradians. Thus it is the angular measure subtended by a complete circle at its center. Subdivisions of a turn include half-turns and quarter-turns, spanning a semicircle and a right angle, respectively; metric prefixes can also be used as in, e.g., centiturns (ctr), milliturns (mtr), etc. As an angular unit, one turn also corresponds to one cycle (symbol cyc or c) or to one revolution (symbol rev or r).
Area of a circleIn geometry, the area enclosed by a circle of radius r is πr2. Here the Greek letter pi represents the constant ratio of the circumference of any circle to its diameter, approximately equal to 3.14159. One method of deriving this formula, which originated with Archimedes, involves viewing the circle as the limit of a sequence of regular polygons with an increasing number of sides.
Calcul numérique d'une intégraleEn analyse numérique, il existe une vaste famille d’algorithmes dont le but principal est d’estimer la valeur numérique de l’intégrale définie sur un domaine particulier pour une fonction donnée (par exemple l’intégrale d’une fonction d’une variable sur un intervalle). Ces techniques procèdent en trois phases distinctes : Décomposition du domaine en morceaux (un intervalle en sous-intervalles contigus) ; Intégration approchée de la fonction sur chaque morceau ; Sommation des résultats numériques ainsi obtenus.
Variété différentielleEn mathématiques, les variétés différentielles ou variétés différentiables sont les objets de base de la topologie différentielle et de la géométrie différentielle. Il s'agit de variétés, « espaces courbes » localement modelés sur l'espace euclidien de dimension n, sur lesquelles il est possible de généraliser une bonne part des opérations du calcul différentiel et intégral. Une variété différentielle se définit donc d'abord par la donnée d'une variété topologique, espace topologique localement homéomorphe à l'espace R.
Mille marinLe mille marin ou nautique, (symbole M, NM, nm, nmi ou Nq) est une unité de mesure de longueur utilisée en navigation maritime et aérienne, égale par convention à . Bien que ne faisant pas partie du Système international d'unités, le mille marin lui est lié puisque défini par rapport au mètre. Historiquement, il a la valeur moyenne d'une minute de latitude d'un arc de méridien soit , ce qui a été arrondi par convention à .
Théorème fondamental de l'analyseEn mathématiques, le théorème fondamental de l'analyse (ou théorème fondamental du calcul différentiel et intégral) établit que les deux opérations de base de l'analyse, la dérivation et l'intégration, sont, dans une certaine mesure, réciproques l'une de l'autre. Il est constitué de deux familles d'énoncés (plus ou moins généraux selon les versions, et dépendant de la théorie de l'intégration choisie) : premier théorème : certaines fonctions sont « la dérivée de leur intégrale » ; second théorème : certaines fonctions sont « l'intégrale de leur dérivée ».
Courbe tautochronevignette|Illustration. Une courbe tautochrone est une courbe située dans un plan vertical, où le temps pris par une particule glissant le long de la courbe sous l'influence uniforme de la gravité jusqu'à son point le plus bas est indépendant de son point de départ. Le problème tautochrone, l'essai d'identifier cette courbe, fut résolu par Huygens en 1659 dans le cas où seule la gravité agit. Il prouva géométriquement dans son Horologium oscillatorium (1673) que la courbe était une cycloïde.