Transfer principleIn model theory, a transfer principle states that all statements of some language that are true for some structure are true for another structure. One of the first examples was the Lefschetz principle, which states that any sentence in the first-order language of fields that is true for the complex numbers is also true for any algebraically closed field of characteristic 0. An incipient form of a transfer principle was described by Leibniz under the name of "the Law of Continuity".
Formule (mathématiques)En logique et en mathématiques, une formule est une suite finie d'objets, dotée de propriétés particulières qui rendent possible la syntaxe dans tous ces domaines. Étant donné un ensemble E et une fonction de poids p: E →N, une formule est un mot extrait de E obtenu par les deux règles de construction suivantes : un seul élément de E de poids 0 est une formule ; si t est un élément de poids n, pour toute suite de n formules F1, F2, ...., Fn, le mot concaténé tF1F2....Fn est une formule.
Completeness of the real numbersCompleteness is a property of the real numbers that, intuitively, implies that there are no "gaps" (in Dedekind's terminology) or "missing points" in the real number line. This contrasts with the rational numbers, whose corresponding number line has a "gap" at each irrational value. In the decimal number system, completeness is equivalent to the statement that any infinite string of decimal digits is actually a decimal representation for some real number.
Infini potentielL'infini potentiel est un dont le modèle le plus simple est l'infinité de la série des entiers naturels : 0, 1, 2, 3, 4... Chaque terme de cette série est fini, mais à chaque étape on peut atteindre un nouvel entier en lui ajoutant 1, ceci indéfiniment. L'infini potentiel n'est donc jamais atteint et correspond à une limite potentielle et non achevée. Il s'oppose à l'infini en acte, qui considère l'infini comme une entité achevée comme l'est l'ensemble des entiers naturels.
Crible d'ÉratosthèneLe crible d'Ératosthène est un procédé qui permet de trouver tous les nombres premiers inférieurs à un certain entier naturel donné N. Le crible d'Atkin est plus rapide mais plus complexe. L'algorithme procède par élimination : il s'agit de supprimer d'une table des entiers de 2 à N tous les multiples d'un entier (autres que lui-même). En supprimant tous ces multiples, à la fin il ne restera que les entiers qui ne sont multiples d'aucun entier à part 1 et eux-mêmes, et qui sont donc les nombres premiers.
Preuve de l'irrationalité de πDans les années 1760, Johann Heinrich Lambert a été le premier à prouver que le nombre est irrationnel, c'est-à-dire qu'il ne peut pas s'écrire sous forme d'une fraction a/b, avec a et b entiers non nuls. Au , Charles Hermite établit une preuve ne reposant sur aucun prérequis au-delà de l'analyse élémentaire. Des versions simplifiées de la preuve de Hermite ont été plus tard trouvées par Mary Cartwright et Ivan Niven. Une autre preuve, une version simplifiée de celle de Lambert, est trouvée par Miklós Laczkovich.
Les Neuf Chapitres sur l'art mathématiquevignette|Les Neuf Chapitres sur l'art mathématique Les Neuf Chapitres sur l'art mathématique (九章算術 ou 九章算术 ou Jiǔzhāng Suànshù) est un livre anonyme chinois de mathématiques, compilé entre le et le au début de la période Han sur la base de morceaux datant d'avant la dynastie Qin. Plus ancien texte chinois après le Suàn shù shū, il est parvenu jusqu'à nous par le travail de copie des scribes et (des siècles plus tard) par impression. Un de ses commentaires les plus célèbres est celui de Liu Hui écrit en 263.
13 (nombre)Le nombre 13 (treize) est l'entier naturel qui suit 12 et précède 14. Le nombre 13 est : le petit nombre premier (jumeau avec 11, cousin avec 17, sexy avec 19 et 7) ; l'un des trois seuls nombres premiers de Wilson connus ; le cinquième exposant premier de Mersenne, donnant ; le troisième nombre premier chanceux ; un nombre premier super-singulier ; le nombre premier brésilien car 13 = 1113 ; le nombre étoilé à 6 branches et le nombre carré centré ; le septième nombre de Fibonacci ; la somme des trois premières puissances de 3 (3 + 3 + 3 = 13) ; la somme des deux premiers carrés de nombres premiers (2 + 3 = 13).
Suite d'entiersEn mathématiques, une suite d'entiers est une séquence (c'est-à-dire une succession ordonnée) de nombres entiers. Une suite d'entiers peut être précisée explicitement en donnant une formule pour son n-ième terme générique, ou implicitement en donnant une relation entre ses termes. Par exemple la suite de Fibonacci (0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, ...) peut être définie : implicitement, par récurrence : ; explicitement, par la formule de Binet : .
Safe and Sophie Germain primesIn number theory, a prime number p is a Sophie Germain prime if 2p + 1 is also prime. The number 2p + 1 associated with a Sophie Germain prime is called a safe prime. For example, 11 is a Sophie Germain prime and 2 × 11 + 1 = 23 is its associated safe prime. Sophie Germain primes are named after French mathematician Sophie Germain, who used them in her investigations of Fermat's Last Theorem. One attempt by Germain to prove Fermat’s Last Theorem was to let p be a prime number of the form 8k + 7 and to let n = p – 1.